Les divergences entre les Etats-Unis et l’Europe sur le dossier iranien semblent plus grandes que jamais après le pic de tensions des derniers jours, mais Paris, Londres et Berlin pourraient tenter de s’engouffrer dans la timide ouverture diplomatique esquissée par le président Donald Trump.
« Le fossé continue de se creuser, dans la continuité des trois dernières années », constate Benjamin Haddad, chercheur français au cercle de réflexion Atlantic Council de Washington.