L’ambition de la nouvelle génération de danseuse est de bousculer la hiérarchie des hommes. Jusqu’ici moins visibles, les danseuses du centre culturel Daniel Sorano comptent révolutionner la danse urbaine à l’image de Libreville. Ces filles qui répètent tous les jours pour se faire reconnaitre, produisent des oeuvres qui forcent le respect. C’est en tout cas la mission que s’est assignée Gacirah Diagne, la présidente de l’association » Kaay Fecc »