Le chef de la section recherches de la Gendarmerie a été saisi pour traquer ceux qui ont fait fuiter le rapport de l’Inspection Générale d’Etat (IGE) de 2012, a confirmé le Procureur de la République lors de sa conférence de presse. Il a laissé entendre que ce dossier, même non soumis à l’attention des autorités ne devrait pas se retrouver dans la presse ou sur les réseaux sociaux. « Ce sont des rapports confidentiels, la loi de 2006 sur les documents administratifs punit de tels faits, de même que les dispositions de 223 du code pénal qui seront appliquées si nous parvenons à identifier l’auteur de cette divulgation illégale », a-t-il martelé.