Lancée en 2014 par le Pape François, l’initiative “24h pour le Seigneur” aux catholiques du monde entier est suivie par les paroisses du monde entier. Une invite à la prière, à une démarche de réconciliation en commun avec son Eglise universelle, est faite aux fidèles. A l’Eglise Saint-Pierre des Baobabs, fidèles, religieux et religieuses ont passé la nuit du 29 au 30 mars à cette adoration.
Comme dans toutes les paroisses, Saint Pierre des Baobabs n’était pas du reste pour consacrer l’initiative “24 h pour le Seigneur” lancée par le Pape François en 2014. Ainsi donc, durant ces 24 heures, chacune d’elle a été aussi capitale et prieuse. Un véritable moment de passion du Christ, pour rentrer en communion avec son Seigneur pour l’aimer et suivre sa divine volonté.
Pendant ce moment priant, les fidèles se donnent la primauté de l’écoute priante de la Parole, plus particulièrement de la Parole prophétique. L’occasion est offerte aux accolés de revisiter la passion du Christ si triste, plein de confusion, de souffrance, de violence, de toute sorte d’abus… N’est-ce pas là un moment de réconfort, nous enseigne l’Eglise: «Tous les remèdes dont l’homme a besoin se trouvent dans la Passion du sauveur.
En méditant et en contemplant les mystères du Christ, spécialement ceux de sa Passion, sa mort et sa résurrection, l’humanité pourra se réconcilier avec son Dieu, avec soi-même et avec son prochain». Il est utile et nécessaire de prier afin que «la Passion de Notre Seigneur Jésus-Christ soit notre nourriture continuelle dans la prière, dans notre vie quotidienne, sans aucun doute, accompagné fréquemment avec les sacrements», rappelle l’Eglise. L’initiative appelée «24 heures pour le Seigneur» du vendredi et samedi qui précèdent le 4ème dimanche de Carême doit monter en puissance dans les diocèses…
« Avec conviction, remettons au centre le sacrement de la Réconciliation, puisqu’il donne à toucher de nos mains la grandeur de la miséricorde. Pour chaque pénitent, ce sera une source d’une véritable paix intérieure», a souligné Pape François.
SudOnLine