Placés sous mandat de dépôt le 1er mars, à la veille de la proclamation des résultats provisoires de la présidentielle du 24 février, ils ont fait face au juge du tribunal de grande instance de Dakar. Poursuivis du chef d’accusation de participation à un attroupement non armé, les mis en cause ont été renvoyés des fins de la poursuite.
Le tribunal qui les a suivis dans leur requête, a relaxé tous les prévenus, après 10 jours passés dans la citadelle du silence…