Le rappeur envisage de porter plainte contre l’inspecteur de police qui se défend d’avoir voulu faire une « mauvaise blague ».
Dans un article publié ce dimanche 17 février, le New York Daily News a dévoilé qu’un inspecteur nommé Emanuel Gonzalez avait invité ses officiers à « tirer à vue » sur 50 Cent en juin dernier, alors que le rappeur devait assister à un match de boxe organisé par la police de New York.
Sur Twitter, le rappeur a réagi à ces révélations. « Voilà comment je me réveille ce matin », a-t-il écrit sous une capture d’écran de l’article en question. « Ce gars, Emanuel Gonzalez, est un flic pourri qui abuse de son pouvoir. Ce qui est triste c’est qu’il a toujours son insigne et son arme ».
De son côté, l’inspecteur assure qu’il s’agissait simplement d’une mauvaise blague. Selon Roy Richter, président de l’Association qui représente les capitaines de la NYPD, cité par CNN, c’est 50 Cent qui « mis en danger la sécurité de l’inspecteur et de sa famille en publiant un Tweet menaçant faisant appel à la violence, l’an dernier ». L’inspecteur aurait d’ailleurs fini par porter plainte contre le rappeur pour « harcèlement aggravé ».
Quoi qu’il en soit, 50 Cent a assuré qu’il prenait « cette menace très au sérieux ». « J’ai fait appel à mon conseiller judiciaire afin de connaître les options qui s’offrent à moi », a-t-il encore déclaré sur Twitter.
This is how I wake up this morning, 🤷🏽♂️ This guy Emanuel Gonzales is a dirty cop abusing his POWER. The sad part is this man still has a badge and a gun.
I take this threat very seriously and im consulting with my legal counsel regarding my options moving forward.— 50cent (@50cent)