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Mondial 2026 : Israël éliminé, hué et isolé sur les terrains du monde

Mondial 2026 : Israël éliminé, hué et isolé sur les terrains du monde

L’équipe nationale israélienne n’est plus seulement battue sur le terrain. Elle est rejetée, huée, confrontée à une hostilité grandissante, conséquence directe des choix politiques de ses dirigeants. Après deux défaites lourdes face à la Norvège puis à l’Italie, Israël dit adieu à la Coupe du monde 2026. Mais derrière l’échec sportif, une réalité plus profonde se dessine : partout où elle joue, la sélection devient symbole d’un pays accusé de colonisation, racisme et oppression du peuple palestinien.

À Udine, ce n’était pas un simple match de qualification. C’était un procès moral. Udine, le stade de la colère mondiale. Avant même le coup d’envoi, la tension était palpable. Dans les rues, des dizaines de milliers de manifestants propalestiniens ont envahi la ville. Panneaux, drapeaux, slogans : le football a été rattrapé par le conflit. Lorsque l’hymne israélien a retenti, une large partie du public l’a sifflé, exprimant une hostilité rare au niveau international.

Les joueurs israéliens sont entrés sur la pelouse sans soutien, cernés par la contestation, dans un isolement total. Une scène inimaginable il y a quelques années, devenue aujourd’hui la norme.

Des défaites sportives… mais d’abord politiques
Sur le terrain, Israël n’a tenu qu’une mi-temps. Battue d’abord par la Norvège, puis balayée par l’Italie (3-0), la sélection a sombré. Mateo Retegui, d’un doublé, et Gianluca Mancini ont scellé le sort d’une équipe dépassée, sans énergie ni conviction.

Elles sont le reflet d’un pays fracturé, d’une sélection abandonnée par son public, prise en otage par la politique. Les dirigeants israéliens, accusés de pratiquer la colonisation, d’encourager le racisme et la division, portent une lourde responsabilité. Ils ont transformé l’équipe nationale en symbole de leur idéologie, condamnant le sport à payer le prix de la politique.

Un football sans âme, prisonnier de l’idéologie
Au sein même d’Israël, les voix s’élèvent. Des anciens joueurs dénoncent la récupération politique du football. Des entraîneurs parlent d’ingérences, de joueurs sélectionnés ou écartés selon des considérations non sportives.

Sur la scène internationale, la révolte gronde : Matches sous haute sécurité, Hymnes sifflés,
Stades transformés en tribunes politiques, Menaces de boycott dans plusieurs pays. Israël ne joue plus un match, il affronte un verdict mondial.

« Qui sème le vent récolte la tempête »
Le football, miroir des nations, a envoyé son message. Tant que les dirigeants israéliens persisteront dans la colonisation, l’apartheid territorial et les discours de haine, aucune équipe ne pourra porter dignement les couleurs du pays. L’isolement sera total, sportif et moral. L’échec au Mondial n’est pas une simple élimination. C’est un avertissement historique : Le sport ne pardonne pas ceux qui le souillent par la politique. Le jour où ses dirigeants choisiront la paix plutôt que la colonisation, l’unité plutôt que la haine, peut-être alors le football pourra revenir. Pour l’instant, il n’est plus qu’un champ de bataille diplomatique.

 


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