« La musique sénégalaise peine à s’imposer sur la scène internationale faute de vision et d’ambition », tranche Xuman. Le rappeur, interrogé par L’AS, regrette que la nouvelle génération reste enfermée dans le marché local, malgré quelques exceptions comme VJ, Mia Guissé ou Wally Seck, qui ont su franchir les frontières.
Selon lui, le mbalax notamment n’a jamais été adapté pour être « vendable » au-delà du pays. Il pointe du doigt l’absence de collaborations et de stratégie de communication, estimant que « la nouvelle génération n’a pas cette vision globale » et que « les artistes ne réfléchissent pas africain ».