Journaliste et consultant reconnu, Aliou Goloko présente sa vision pour réformer le football sénégalais sur la TFM ce 21 juillet.
Le 21 juillet 2025, Aliou Goloko, figure montante du football sénégalais, était l’invité de l’émission Infos Matin sur TFM, animée par [nom de l’animateur]. Il y a expliqué les raisons de sa candidature à la présidence de la FSF, à la surprise de nombreux observateurs, et détaillé ses priorités pour un mandat reposant sur la transparence et la modernisation.
Goloko a évoqué la surprise suscitée par sa candidature déposée juste avant la date limite. Il affirme ne pas représenter un club, mais viser une transformation collective du football sénégalais.
« Je ne suis pas là pour un buzz, mais pour apporter une vraie valeur à la FSF », a-t-il affirmé.
Cette approche indépendante l’autorise, selon lui, à proposer des réformes structurelles sans pression politique ou clanique.
Il détaille trois chantiers prioritaires :
Gouvernance transparente : publication des comptes, chartes déontologiques, audit externe.
Professionnalisation nationale : promouvoir la formation d’entraîneurs et arbitres au niveau régional.
Développement académique : encadrer davantage les academies locales pour en faire de véritables viviers de talents.
Goloko veut ainsi offrir au football sénégalais des fondations solides et durables, loin des logiques à court terme. Aliou Goloko a insisté sur l’importance de mieux associer les clubs amateurs, les sponsors privés et la diaspora dans les décisions de la FSF afin de garantir une coopération inclusive et efficace.
Le scrutin du 2 août 2025 oppose Goloko à des figures expérimentées comme Me Augustin Senghor, président sortant depuis 2009. Ce dernier mise sur la continuité. Goloko, quant à lui, propose un vent de renouvellement et de refondation. En misant sur une candidature sans ancrage club et axée sur la réforme structurelle, Aliou Goloko ambitionne d’incarner une nouvelle étape pour le football sénégalais. Sa réussite dépendra de sa capacité à convaincre les électeurs que transparence, formation, gouvernance ne sont pas de simples mots, mais des impératifs pour renforcer la stature du Sénégal en Afrique et dans le monde.