Donald Trump a jugé mardi qu’il avait « probablement » influencé la décision de Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp) de cesser ses opérations de fact-checking aux Etats-Unis, pendant une conférence de presse dans sa résidence de Mar-a-Lago en Floride (sud).
Meta et Facebook « ont fait beaucoup de progrès », a jugé le président élu républicain, interrogé sur cette annonce, avant de répondre « probablement » à un journaliste qui lui demandait s’il estimait que le patron de Meta Mark Zuckerberg avait agi ainsi en raison de menaces que Donald Trump avait émises dans le passé.