Haut représentant du président de la République, Aminata Touré s’est réjouie de la position des nouvelles autorités étatiques concernant la reddition des comptes. Selon l’ancienne ministre de la Justice, initiatrice de la traque des biens mal acquis en 2012, il est tout à fait normal que chaque gestionnaire soit audité par les organes de contrôle compétents à la fin de chaque exercice. L’ancienne Présidente insiste également pour que les fonds liés à la COVID-19 soient une priorité dans la traque des fonds volés.