En effet, des sources rapportent à Dakaractu que des avocats ont été commis pour contester la décision. Pas que ! En effet, une lettre de lettre de dénonciation et une plainte seront déposées sur la table de la cour de la CEDEAO et au niveau de l’Union Africaine.
Mieux, ensuite l’Union Européenne, tout comme les organismes internationaux, les ONG qui travaillent avec les collectivités territoriales et les organisations des droits de l’homme seront aussi saisis.
Il s’agira en effet, de déployer une campagne internationale de dénonciation qui sera renforcée par une tapante communication qui alternera irruption dans les médias et visites auprès des chefs religieux du Sénégal. L’objectif sera, à travers des argumentaires nourris, de prouver l’utilité de l’institution. Affaire à suivre…