Le Sénégal qui va relever le défi de l’organisation de la 17ème édition de la conférence après le Nigeria, a été choisi pour saluer les efforts consentis dans cette filière et sa position au niveau du Conseil International constaté du cajou appelé communement le CICC. “Les avantages que nous pouvons tirer concrètement en organisant cette 17ème conférence, le Sénégal comme vous le savez a une production annuelle qui est estimée à 20 mille tonnes de noix brute. La chaîne de valeur anacarde avec au moins 5% de transformation des noix a permis de créer plus de 100 mille emplois. Faire bénéficier à l’ACA et tous les pays qui sont membres comment nous pouvons réfléchir sur les stratégie de développement de l’industrialisation du cajou. Le Sénégal va aussi voir des expériences tirées des autres pays qu’il pourra faire appliquer au niveau du pays. Les acteurs de la chaîne de valeur cajou pourront avoir beaucoup d’informations pertinentes pour la filière pour mener à bien leur activité », a soutenu le secrétaire général du Maersa, Papa Malick Ndao qui informe que le tutelle a degagé une envelope de 30 millions pour la prise en charge des populations qui vont quitter à l’interieur pays pour venir assisté à cet événement qui entend un peu plus de 350 participants vunus du monde entier représentant tous les aspects de chaîne de valeur cajou. Parmi eux, des producteurs de cajou, négociants, transformateurs, acheteurs internationaux, décideurs du secteur public, les institutions financières qui plaident tous pour l’avenir de la filière africaine du cajou à Saly (Sénégal) pays hôte.