« L’éducation des filles est la clé de la transformation et du développement de nos sociétés ». À travers ce plaidoyer fort, la Première dame Marie Khone Faye a marqué la Journée internationale des femmes africaines et afrodescendantes 2025, organisée à l’Unesco à Paris, le 8 septembre dernier. Marraine de l’événement, elle a rappelé qu’aucun progrès n’est possible sans la pleine participation des femmes, en particulier dans les domaines scientifiques et technologiques.
« Cette édition, placée sous le thème les femmes scientifiques africaines dans les Steam (Sciences, Technologies, Ingénierie, Arts & Mathématiques), a constitué un cadre exceptionnel pour célébrer la force, l’intelligence et la créativité des femmes africaines et afrodescendantes qui façonnent l’avenir », a indiqué Marie Khone Faye sur son réseau social.
À travers sa représentante, Magatte Diop, la Première dame a saisi cette occasion pour se faire l’avocate des femmes. « L’éducation des filles est la clé de la transformation et du développement de nos sociétés. D’où l’impérieuse nécessité de les aider à atteindre leurs objectifs de développement surtout concernant les études de sciences », a plaidé Marie Khone Faye.
En effet, « partout en Afrique et dans la diaspora, des femmes scientifiques, ingénieures, chercheuses, inventrices, médecins et mathématiciennes tracent la voie. Elles innovent, elles sauvent des vies, elles inspirent. Elles démontrent aussi que le génie africain a un visage féminin », a-t-il ajouté, non sans faire appel à « une responsabilité commune : encourager les petites filles à croire en leur potentiel scientifique, créer des politiques publiques ambitieuses, des États et organisations, afin d’assurer un environnement africain pour qu’elle soit au sommet des grandes avancées technologiques et scientifiques du monde ».