Des difficultés financières et des craintes de non-remboursement
La situation est d’autant plus critique que de nombreux riziculteurs ont contracté des prêts bancaires, et craignent de ne pas pouvoir rembourser leurs crédits en cas de perte de récolte.
Mamadou Diang Diallo a également révélé que l’État leur doit de l’argent depuis 2023, une situation qui les met dans une position délicate avec leurs créanciers. « On nous doit de l’argent depuis 2023, et cette situation nous met dans une ambiance inconfortable avec nos créanciers », a-t-il déclaré, invitant l’État à les payer pour qu’ils puissent continuer leur activité.
Un appel à l’aide et au renforcement des moyens
Face à l’ampleur des dégâts causés par les fortes pluies, le président du COPIL a insisté sur la nécessité d’un soutien accru. « Si nous n’avons pas d’aide, on file droit vers la perte de nos récoltes et de nos économies », a-t-il affirmé.
     
 
   
   
                 
                