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Il avait l’uniforme dans la tête… mais pas dans les règles. M. Badiane, agent de sécurité reconverti en faux gendarme, a passé des semaines à jouer au justicier de pacotille dans les rues de Dakar, escroquant ses victimes sous couvert d’opérations de contrôle fictives. Son stratagème s’est finalement retourné contre lui après plus de 25 plaintes déposées à son encontre. L’Observateur revient sur le parcours d’un imposteur méthodique, arrêté au cœur de la foule après avoir trop joué avec les apparences.
Menottes, cagoules et arme factice : un kit de l’escroc parfait
Avec une fausse carte professionnelle de gendarme, une paire de menottes, deux cagoules, une arme factice, et même plusieurs cartes d’identité étrangères, M. Badiane s’était bâti un personnage à la crédibilité redoutable. Ce déguisement lui permettait d’improviser des « interventions » dans les quartiers populaires de Dakar, notamment à Bel-Air et Yarakh.
Son mode opératoire était toujours le même : il interpellait ses victimes, les fouillait sous prétexte d’un contrôle, et disparaissait avec téléphones, argent liquide et autres effets personnels.
Un vol banal… suivi d’un retournement de situation inattendu
Le 23 mai dernier, à Yarakh, O. Diallo, un commerçant, tombe dans son piège. Le faux gendarme lui soutire 5 000 FCFA et son téléphone, avant de disparaître. Mais le hasard veut que le lendemain, la victime croise son agresseur lors d’un événement public au Môle 4, en marge d’une signature de contrat entre les lutteurs Liss Ndiago et Ada Fass.
Reconnu, M. Badiane est aussitôt signalé aux vrais policiers, qui l’interpellent sur les lieux. Sa fouille révèle une véritable « boîte à outils » de l’escroc : quatre téléphones, 35 000 FCFA, des documents falsifiés, et l’attirail complet du faux agent de l’État.
Face au tribunal : aveux complets, mais un casier lourd
À l’audience, M. Badiane ne tente même pas de nier. Il reconnaît avoir mené plusieurs opérations similaires, sans violence mais avec beaucoup de ruse. Pourtant, malgré ses excuses et ses promesses de ne plus récidiver, le parquet ne se laisse pas attendrir.
« C’est un bandit notoire, dangereux pour la société », tonne le procureur, qui requiert trois ans de prison ferme.
Ce qui devait être un geste solidaire pour tirer un ami de prison s’est transformé en un véritable scénario d’escroquerie. À Thiès, les commerçants M. Lèye et B. Ndiaye se retrouvent eux-mêmes sous mandat de dépôt, après avoir extorqué 1,5 million de FCFA sous prétexte de faire libérer un détenu. Une affaire rocambolesque relatée par L’Observateur, qui met en lumière une dérive opportuniste et une naïveté familiale exploitée à fond.
Faux espoir et vraie arnaque
Tout commence lorsque l’un de leurs camarades se retrouve incarcéré. Se présentant comme les bons samaritains du jour, M. Lèye et B. Ndiaye prennent contact avec S. Ndiaye, frère du détenu, pour lui proposer une solution express : payer 1,5 million de FCFA afin d’engager un avocat pour faire libérer son frère.
Soucieux de revoir son frère libre, S. Ndiaye s’exécute sans rechigner. Il remet la somme à M. Lèye, qui, à son tour, la transfère à B. Ndiaye — censé gérer la partie “juridique” du plan. Tout semble sous contrôle. Les deux commerçants vont jusqu’à demander à S. Ndiaye de préparer le dîner pour leur ami, affirmant qu’il allait rentrer dormir à la maison… ce soir même.
Mais la nuit passe. Et le détenu reste… détenu. Pas d’avocat, pas de libération, pas même une fausse visite d’un auxiliaire de justice.
Le piège se referme
Face à ce qu’il comprend enfin être une supercherie, S. Ndiaye n’hésite pas à porter plainte pour escroquerie et association de malfaiteurs. La police n’a pas tardé : les deux commerçants sont arrêtés, placés sous mandat de dépôt, puis traduits devant le Tribunal des flagrants délits de Thiès.
Les aveux, puis l’attente du verdict
Une simple dispute autour d’un bol de soupe a dégénéré en une scène de violence familiale inouïe à Mbour. Salif K., 57 ans, tailleur de profession, est poursuivi pour coups et blessures volontaires sur sa première épouse, Fatou C., après un incident qui a aussi vu ses relations avec son fils tourner au conflit violent et à la destruction de biens personnels.
Une querelle qui tourne au drame
Après 32 ans de mariage et deux épouses, Salif avait prévu, le 30 avril dernier, de passer deux jours chez sa seconde femme. Avant son départ, il demande à sa première épouse de lui réserver une part du dîner — une soupe à la viande — pour la transporter à l’autre domicile. Fatou refuse catégoriquement, proposant à son mari de manger sur place, mais ce dernier insiste. Une altercation éclate alors devant la porte de la cuisine, où Salif tente de se servir lui-même.
Fatou bloque le passage, et Salif, furieux, la frappe violemment à la joue et à l’épaule. Alerté par les cris, leur fils intervient pour défendre sa mère. S’ensuit une bagarre entre père et fils, interrompue par des voisins, mais loin d’apaiser les tensions.
De la violence conjugale à la violence filiale… et à l’incendie
Dans un accès de colère, Salif chasse son fils de la maison. Pire, il met le feu aux affaires personnelles du jeune homme — habits, chaussures, et même son ordinateur portable sont réduits en cendres. La violence ne s’arrête pas là : armé d’un couteau, Salif menace de mort sa première épouse alors qu’elle dort.
Fatou, qui décrit à la barre son mari comme un homme agressif, belliqueux et violent, choisit alors de quitter le domicile conjugal avec ses enfants, trouvant refuge chez son oncle. Après des soins à l’hôpital Thierno Mouhamadou Mansour Barro, elle obtient un certificat médical de quatre jours d’incapacité temporaire de travail.
À la barre du tribunal : révélations et tension palpable
Un vent de scandale souffle sur le centre d’examen du CEM de Diamaguène, où quatorze candidats au Brevet de Fin d’Études Moyennes (BFEM) ont été brutalement exclus pour tricherie, après avoir été pris en possession de téléphones portables en pleine épreuve. Une affaire explosive racontée dans les colonnes de L’Observateur, qui met en lumière une organisation frauduleuse aussi maladroite que troublante.
La récidive : quand la triche devient une stratégie
Au premier tour, deux candidats avaient déjà été éjectés du centre pour usage de téléphones contenant des applications de correction. Un précédent qui n’a visiblement pas dissuadé certains de retenter leur chance au second tour, pensant pouvoir passer entre les mailles du filet. Ce mercredi matin, deux élèves sont surpris avec leur téléphone dans la cour du centre. Le président du jury, d’abord clément, opte pour la tolérance. Mais la situation va rapidement dégénérer.
Le coup de théâtre de l’après-midi
Tout bascule durant l’épreuve d’Histoire-Géographie. Une élève voilée, ulcérée par l’impunité de certains tricheurs, alerte le président du jury. C’en est trop pour ce dernier, qui décide alors de prendre les choses en main. Il entre dans la salle d’examen et ordonne une fouille corporelle générale. Le résultat est édifiant : 12 candidats sont pris en flagrant délit, dont 8 filles.
Mais l’un des cas fait froid dans le dos : une candidate, pensant berner les surveillants, avait caché son téléphone dans son slip. Il a fallu l’intervention d’une policière pour le découvrir. Les deux candidats du matin, jusque-là épargnés, seront également exclus.
Larmes, transe et peur d’être répudiée
Le choc est brutal pour les exclus. L’une des candidates, prise avec un téléphone, s’effondre en larmes. Elle entre en transe et confie à voix haute sa plus grande peur : être répudiée par son mari. Selon L’Observateur, son époux l’avait expressément avertie de ne pas utiliser de téléphone pendant les examens. Une tricherie qui pourrait lui coûter bien plus qu’une place au centre.
Un vent de scandale souffle sur le centre d’examen du CEM de Diamaguène, où quatorze candidats au Brevet de Fin d’Études Moyennes (BFEM) ont été brutalement exclus pour tricherie, après avoir été pris en possession de téléphones portables en pleine épreuve. Une affaire explosive racontée dans les colonnes de L’Observateur, qui met en lumière une organisation frauduleuse aussi maladroite que troublante.
La récidive : quand la triche devient une stratégie
Au premier tour, deux candidats avaient déjà été éjectés du centre pour usage de téléphones contenant des applications de correction. Un précédent qui n’a visiblement pas dissuadé certains de retenter leur chance au second tour, pensant pouvoir passer entre les mailles du filet. Ce mercredi matin, deux élèves sont surpris avec leur téléphone dans la cour du centre. Le président du jury, d’abord clément, opte pour la tolérance. Mais la situation va rapidement dégénérer.
Le coup de théâtre de l’après-midi
Tout bascule durant l’épreuve d’Histoire-Géographie. Une élève voilée, ulcérée par l’impunité de certains tricheurs, alerte le président du jury. C’en est trop pour ce dernier, qui décide alors de prendre les choses en main. Il entre dans la salle d’examen et ordonne une fouille corporelle générale. Le résultat est édifiant : 12 candidats sont pris en flagrant délit, dont 8 filles.
Mais l’un des cas fait froid dans le dos : une candidate, pensant berner les surveillants, avait caché son téléphone dans son slip. Il a fallu l’intervention d’une policière pour le découvrir. Les deux candidats du matin, jusque-là épargnés, seront également exclus.
Larmes, transe et peur d’être répudiée
Le choc est brutal pour les exclus. L’une des candidates, prise avec un téléphone, s’effondre en larmes. Elle entre en transe et confie à voix haute sa plus grande peur : être répudiée par son mari. Selon L’Observateur, son époux l’avait expressément avertie de ne pas utiliser de téléphone pendant les examens. Une tricherie qui pourrait lui coûter bien plus qu’une place au centre.
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