S’adressant au chef de l’État, il a exprimé les fortes attentes de l’entreprise tout en remerciant les participants. Selon lui, il incombe à chaque acteur politique et socio-économique de jouer sa partition en toute responsabilité. Pour rappel, comme il l’a dit, « celle de l’entreprise est d’investir, de créer des emplois et de contribuer substantiellement au budget de l’État dans un climat de confiance, de paix, de stabilité et de sécurisation de l’investissement privé ».
Il a ensuite ajouté : « nous plaidons pour que les futurs textes issus de ce dialogue soient aussi assortis de ce que j’appelle un pacte de stabilité républicaine ». Il a également souligné : « quand j’écoute le gouvernement, il entend faire de son secteur privé national le bras armé de sa souveraineté économique, et ceci est consigné dans l’agenda national de transformation Sénégal 2050. Quand j’écoute l’opposition, elle plaide pour un État stratège qui soutient davantage un secteur privé national. Ainsi, il y a un dénominateur commun entre le pouvoir et l’opposition : ce renforcement de son secteur privé national. Alors, si nous prenons le temps de nous écouter et de nous comprendre, nos réflexions et nos engagements pour construire le Sénégal devraient être centrés sur l’entreprise ».