Le parti Front national, devenu Rassemblement national, a été condamné lundi à deux millions d’euros d’amende, dont un million ferme, ainsi qu’à la confiscation d’un million d’euros saisis pendant l’instruction, dans l’affaire des assistants parlementaires européens.
Vingt-trois autres prévenus ont été condamnés à des peines allant de 6 mois de prison avec sursis à 4 ans dont 2 ans ferme – la peine maximale ayant été prononcée pour Marine Le Pen – assorties, selon les cas, d’amendes et de peines d’inéligibilité, parfois avec sursis. Un seul prévenu a été relaxé.