Le gouvernement camerounais a récemment pris une décision majeure : retirer aux fédérations sportives la gestion directe des fonds publics qui leur sont alloués. Cette mesure, annoncée dans un contexte de préoccup...
Archives journalières : 4 mars 2025
Le ramadan 2025 commence dans un contexte marqué par la flambée des prix de la viande et la pénurie d’œufs à Kolda. Ces deux produits, pourtant très prisés par les fidèles pour leur alimentation durant ce mois sac...
L'activiste Assane Diouf est envoyé en prison depuis hier, lundi 4 mars 2025, suite à son interpellation pour délit de diffusion de fausses nouvelles, après son live sur les réseaux sociaux. Le leader de Taxaawu S...
Le prince héritier Mohammed ben Salmane, dirigeant de facto de l'Arabie saoudite, sera absent du sommet arabe consacré à la bande de Gaza mardi au Caire, où le Royaume sera représenté par son chef de la diplomatie...
Ce dimanche 2 mars, en début d’après-midi, une scène troublante s’est déroulée à Gadaye, un quartier de Guédiawaye. Un garçon de 11 ans, nommé A. D. et originaire de Guinée, a précipitamment trouvé refuge dans la ...
L’histoire d’A. Niang avait tout pour être un scénario de film : un vol audacieux, un rêve d’émigration et un retour humiliant. Mais dans la réalité, son plan a tourné au fiasco. Selon L’Observateur, ce jeune...
C’est une affaire qui secoue la communauté de Sinthiou Diaobé 2, dans le département de Goudiry. Un maître coranique, imam respecté de son village, a été condamné à trois ans de prison ferme pour escroquerie et ch...
L'un des condamnés dans l'affaire de l'avion saisi en septembre dernier à Bissau, transportant 2 633,1 kg de cocaïne, est décédé ce lundi 3 mars à l'Hôpital National Simão Mendes (HNSM). Le défunt, Marlos de Paula...
L’état de la route Ngaye Mékhé-Thilmakha préoccupe au plus haut niveau les riverains et voyageurs qui se rendent dans le Cayor des profondeurs. Les travaux de réhabilitation de cette route, interrompus depuis plus...
Suite à sa visite pastorale les 1er et 2 mars 2025 à Dakar, Monseigneur Jean-Baptiste Valter Manga, évêque du diocèse de Ziguinchor, a rencontré la presse pour échanger sur les enjeux de sa mission, notamment la qu...
Au terme de l’exercice 2024, le résultat net consolidé de la société marocaine Maghreb Oxygène S.A, qui produit et commercialise des gaz industriels, médicaux, alimentaires et spéciaux, a connu une progression de 30% par rapport à l’exercice 20...
En République démocratique du Congo (RDC), la culture du mérite n'a jamais été une priorité pour aucun gouvernement. En témoigne l'histoire de Pauline Lumumba, veuve de Patrice Lumumba, humiliée dans les rues de L...
En novembre, le niveau de l’Indice harmonisé des prix à la consommation (Ihpc) de la zone Uemoa a enregistré une baisse de 0,7% par rapport au mois d’octobre 2024 soit un niveau de 125,8. Selon la Commission de l’U...
Pour assurer la couverture des besoins de financement de son budget, le Togo a obtenu le 3 mars 2025, la somme de 25,793 milliards FCFA auprès des investisseurs du marché financier de l’UEMOA au terme d’une émission simultanée d’adjudication de...
Jean-Louis Debré, ancien président de l'Assemblée nationale et du Conseil constitutionnel, est décédé à l'âge de 80 ans. L'annonce a été faite ce mardi par sa famille à LCI et confirmée par la présidente de l'Asse...
Le président Umaro Sissoco Embalo est revenu en Guinée-Bissau lundi 3 mars, après une tournée européenne. Il a annoncé sa candidature à la présidentielle, tandis qu'il assume le départ précipité d'une délégation d...
L’agence de notation Standard and Poor's (S&P) exprime des réserves sur les délais envisagés par le gouvernement sénégalais pour résorber la crise de la dette et réduire le déficit budgétaire. Selon l’agence, ...
Le mystère autour de la disparition du sergent Fulbert Sambou et de l'adjudant-chef Didier Badji connaît un nouveau développement. Dans son édition de ce mardi 4 mars, le quotidien Les Échos révèle une avancée significative dans cette affaire qui intrigue toujours l'opinion publique sénégalaise.
Pour rappel, les deux militaires avaient disparu le 18 novembre 2022 dans des circonstances toujours non élucidées. Cinq jours plus tard, le corps sans vie de Fulbert Sambou était repêché au large du Cap Manuel. Depuis lors, aucune trace de Didier Badji n’a été retrouvée, plongeant sa famille et ses proches dans l’angoisse.
Selon Les Échos, le magistrat instructeur en charge du dossier a récemment adressé une délégation judiciaire à la gendarmerie. Cette démarche vise à interroger deux proches de Didier Badji, une étape cruciale pour mieux cerner la personnalité de ce dernier. « Le juge d'instruction ne veut pas simplement se limiter aux faits. Il cherche manifestement à comprendre la personnalité des deux victimes, précisément Didier Badji qui reste introuvable », souligne le journal.
L'interrogatoire, conduit par la Section de recherches (Sr) de la gendarmerie, a eu lieu ce lundi. L'objectif de cette audition est de recueillir des éléments de nature à éclairer l'enquête, notamment sur la vie privée et les relations de l'adjudant-chef Didier Badji.
Ce rebondissement relance les spéculations sur cette affaire mystérieuse, alors que de nombreuses zones d'ombre persistent. Qu'est-il réellement arrivé à Didier Badji ? Pourquoi Fulbert Sambou a-t-il été retrouvé mort ? L'enquête en cours saura-t-elle lever le voile sur ces interrogations ? Autant de questions qui continuent d’alimenter les discussions dans l’opinion publique. L’évolution de l’enquête reste très attendue, alors que les familles des deux militaires appellent à la vérité et à la justice.
La Chine s'est dite prête mardi à riposter "jusqu'au bout", après avoir annoncé ses propres droits de douane en réponse aux nouvelles taxes douanières américaines imposées aux produits chinois. Si Washington ...
La date limite fixée par Donald Trump avant l'entrée en vigueur de droits de douane imposés aux produits canadiens et mexicains importés vers les Etats-Unis a été atteinte mardi matin sans que les tr...
Le Parti Rewmi de Idrissa Seck est en deuil suite au décès, ce lundi à Thiès, d’Alassane Ndiaye, ancien maire de Thiès-Nord. Le défunt occupait également le poste de secrétaire national chargé de l'informatique...
Des combattants soudanais ont violé des bébés d'à peine un an au cours de la guerre civile qui continue de déchirer le pays. Des crimes qui devraient "choquer tout un chacun aux tréfonds de son âme", dénonce l'agence de l'ONU pour l'enfance.
Les données collectées par des organismes luttant sur place contre les violences sexuelles "ne donnent qu'une image partielle de l'ampleur réelle de la violence infligée aux enfants", explique l'Unicef, qui fustige les violences sexuelles utilisées comme arme de guerre.
Depuis le début 2024, 221 cas de viols d'enfants ont été enregistrés, pour deux tiers des filles. Seize enfants avaient moins de 5 ans dont quatre à peine un an.
Les victimes et leur famille sont souvent réticentes ou incapables de se manifester, craignant la stigmatisation, le rejet, les représailles des groupes armés, les atteintes à la confidentialité ou l'accusation de collaboration avec un groupe armé.
- Des conséquences à vie -
"Le fait que des enfants d'à peine un an soient violés par des hommes armés devrait choquer tout un chacun aux tréfonds de son âme et obliger à agir immédiatement", juge la directrice générale de l'agence onusienne, Catherine Russell.
"Des millions d'enfants au Soudan risquent d'être violés et d'autres formes de violence sexuelle", estime-t-elle, soulignant que cela bafoue le droit international et pourrait constituer un crime de guerre.
Depuis avril 2023, le Soudan est pris dans un conflit brutal entre le chef de l'armée Abdel Fattah al-Burhan et son ancien adjoint Mohamed Hamdan Daglo, qui dirige les Forces de soutien rapide (FSR) paramilitaires.
Les combats, les attaques contre les civils et les hôpitaux, les déplacements forcés et la famine dans centaines régions font du Soudan la plus grande catastrophe humanitaire au monde, selon l'ONU.
Souvent les hommes en armes forcent les familles à livrer leurs filles et les violent devant leurs proches, selon le rapport qui ne cite pas les responsables de ces exactions.
Les victimes subissent souvent de graves blessures physiques et psychologiques qui peuvent avoir des conséquences à vie et laisser les survivantes face à des "choix impossibles", comme une grossesse, se confier à leur famille ou aux autorités et se faire soigner.
"Personne, aucun enfant, ne devrait avoir à endurer ces horreurs. Cela doit cesser immédiatement", exige l'Unicef.
- "Des pleurs et des cris" -
Deux grands partis politiques d'opposition et des membres de la société civile ont créé lundi au Togo un nouveau regroupement contre la Constitution adoptée en avril 2024, qui abolit l'élection du chef de l'Eta...