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Les centres des œuvres universitaires (CROUS) au Sénégal sont des institutions vitales pour la vie estudiantine, fournissant des services essentiels tels que la restauration, l'hébergement et le soutien social aux étudiants. Cependant, ces dernières semaines, une crise d’une gravité inquiétante a éclaté, mettant en lumière des licenciements massifs et jugés abusifs, à l’instar de la récente décision du Directeur du CROUSS de Kaolack de licencier près de 138 agents.
Un acte qui frise l'"épuration politique"
Ces licenciements massifs ne concernent pas uniquement Kaolack. Les autres CROUS du pays, comme ceux de Saint-Louis, Thiès, Bambey ou encore le COUD (Centre des œuvres universitaires de Dakar), semblent également prêts à emboîter le pas. Les syndicats, notamment ceux des PATS (Personnel administratif, technique et de service) et des PER (Personnel enseignant-chercheur), dénoncent une forme d’épuration politique orchestrée par le régime en place.
Ces travailleurs, quel que soit leur bord politique, sont avant tout des citoyens sénégalais. Pourtant, ils sont renvoyés dans ce qui est perçu comme un effort pour teinter les institutions des couleurs politiques du parti au pouvoir. Ce phénomène va à l’encontre du principe de continuité de l’État, qui garantit la stabilité et la neutralité des institutions publiques, indépendamment des changements politiques.
Une menace pour la stabilité sociale et politique
Si la logique politique prime sur la compétence et la stabilité dans les institutions publiques, la démocratie sénégalaise pourrait être sérieusement ébranlée. La continuité de l’État, un principe fondamental de la République, est mise en péril lorsque chaque régime qui s’installe débauche et embauche en fonction des affinités politiques.
Une telle dérive risque de polariser davantage le climat social, augmentant les tensions et exacerbant les frustrations. Certains observateurs craignent même qu’une telle gestion politique des emplois publics ne mène, à terme, à des troubles sociaux plus graves.
Etudiants et enseignants en ordre de bataille
Le gouvernement est sous pression face à la crise qui sévit dans les centres des œuvres universitaires (CROUS) où les travailleurs ruent dans les brancards. Ils dénoncent ce qu'ils qualifient de "situation précaire et arbitraire".
Les tensions autour des licenciements abusifs dans les centres des œuvres du Sénégal prennent une nouvelle dimension. Après les travailleurs licenciés, ce sont, désormais,.les étudiants et les enseignants du supérieur qui se mobilisent pour dénoncer une gestion jugée "chaotique et politisée". Face à la montée des contestations, le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation tente de recoller les morceaux, tandis que le Premier ministre Ousmane Sonko s’emploie à apaiser les tensions.
La montée en puissance de la contestation
Dans les universités de Dakar, Saint-Louis, Thiès, Bambey et Kaolack, c'est le ras-le-bol. Hormis le personnel, les étudiants expriment leur solidarité avec les travailleurs licenciés. Ils dénoncent une gestion qui met en péril les services essentiels, tels que la restauration et l’hébergement, tout en fragilisant les conditions de vie déjà précaires des étudiants.
Les enseignants, quant à eux, s’inquiètent des répercussions de cette crise sur la stabilité académique. Ils estiment que les licenciements massifs et les grèves des personnels techniques risquent de compromettre l’année universitaire. Ces derniers jours, des appels à la grève et des manifestations ont été lancés, faisant planer la menace d’un blocage total du système universitaire.
Un gouvernement sous pression
Conscient de la gravité de la situation, le ministère de l’Enseignement supérieur,.de la Recherche et de l'Innovation multiplie les initiatives pour tenter de calmer les esprits. Des réunions d’urgence, avec les syndicalistes, les recteurs, les Directeurs ou représentants des CROUS, ont été convoquées par le Ministre de l"Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'Innovation.
Cependant, ces efforts sont perçus comme insuffisants par les acteurs concernés, qui exigent des mesures concrètes, notamment la réintégration des travailleurs licenciés et des garanties sur la neutralité des institutions universitaires.
Le Premier ministre Ousmane Sonko, qui se veut, souvent, proche des préoccupations populaires, s’efforce de jouer les médiateurs. En déplacement à Saint-Louis, il a rencontré des représentants des syndicats et des étudiants, appelant à l’apaisement et promettant une enquête approfondie sur les licenciements. "Nous ne pouvons pas laisser cette situation compromettre l’avenir de nos jeunes et la stabilité de notre pays", a-t-il déclaré.
Une crise aux relents de répercussions politiques
Cette crise dépasse le cadre universitaire et met en lumière des tensions plus profondes au sein de la société sénégalaise. Les accusations d’épuration politique et de gestion partisane des emplois publics alimentent un climat de méfiance envers le gouvernement.
Pour l’opposition, cette situation illustre l’échec de la gouvernance actuelle à respecter les principes républicains de continuité de l’État et de neutralité des institutions. Les syndicalistes et certains leaders politiques n’hésitent pas à qualifier ces licenciements de "chasse aux sorcières" et appellent à une mobilisation nationale pour défendre les droits des travailleurs et préserver la stabilité sociale.
Quel avenir pour les universités sénégalaises ?
Alors que la situation reste tendue, la priorité doit être donnée à une résolution rapide et équitable de cette crise. Les étudiants, les enseignants et les personnels des CROUS attendent des réponses concrètes de la part des autorités.
Dans ce contexte, la capacité du gouvernement, et en particulier du Premier ministre Ousmane Sonko, à gérer cette crise pourrait avoir des implications majeures sur la stabilité politique et sociale du pays. Si des solutions pérennes ne sont pas trouvées, le risque de voir les tensions s’étendre à d’autres secteurs est réel.
En attendant, les universités sénégalaises, autrefois, bastions de savoir et de stabilité, se retrouvent au cœur d’une crise qui pourrait redéfinir les rapports entre le pouvoir, les institutions et les citoyens.
Appel à la responsabilité collective
Les syndicats et les travailleurs des CROUS, notamment ceux de Kaolack, de Saint-Louis, de Thiès, de Bambey et du COUD, se mobilisent pour faire face à cette situation. Ils exigent des explications, défendent leurs droits et luttent contre toute tentative de manipulation politique des institutions publiques.
Face à cette situation à l'allure d'une bombe, le gouvernement doit prendre ses responsabilités en garantissant la neutralité et l’équité dans la gestion des emplois publics.
La stabilité du pays en dépend, car les institutions publiques ne doivent pas devenir des outils au service d’un parti ou d’un régime.
Ces licenciements "abusifs" sont un signal alarmant. Les autorités doivent savoir que l'Université, c'est le Sénégal en miniature.
Si rien n’est fait, ces actes pourraient, non seulement, déstabiliser des milliers de familles, mais aussi, compromettre la paix sociale et les fondements mêmes de la démocratie au Sénégal.
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Un différend fatal
Le drame s’est joué sur un chantier à Thiès où Pape Demba Cissokho, chef de chantier respecté, avait engagé un journalier pour accélérer les travaux. Selon L’Observateur, la journée de travail s’était déroulée sans incident jusqu’à l’heure de la descente, lorsque le journalier a réclamé son salaire.
Ne disposant pas immédiatement de la somme, le maçon a demandé à son employé de patienter pendant qu’il attendait un paiement du propriétaire de la maison. Mais cette demande a été mal accueillie par le journalier, qui a rapidement perdu patience. Convaincu qu’il ne serait pas payé, il est allé chercher son grand frère pour régler le différend.
Une agression d’une rare violence
La situation a dégénéré lorsque le journalier et son frère sont revenus sur le chantier. Selon les témoins cités par L’Observateur, les deux hommes ont violemment roué de coups Pape Demba Cissokho, le laissant inconscient et gravement blessé. Transporté en urgence à l’hôpital régional de Thiès, le maçon a été admis en réanimation. Malgré 17 jours de soins intensifs, il a succombé à ses blessures, plongeant sa famille dans une douleur indescriptible.
Le témoignage poignant de la veuve
La femme de la victime, encore sous le choc, a livré un témoignage bouleversant à L’Observateur. « D’habitude, mon mari rentre à la maison à 19 heures. Ce jour-là, il n’était toujours pas là à 20 heures. Quand son ami Mbaye Diène est venu m’annoncer qu’il était malade et à l’hôpital, j’ai compris que quelque chose de grave s’était passé. Je l’ai trouvé en réanimation, immobile, incapable de parler ou de bouger. Il a succombé après 17 jours d’hospitalisation. »
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