Poursuivant, Emmanuel Macron d’enfoncer le clou. » Et la France sera importante pour continuer à défendre les crédits, mais à défendre une voix qui est celle d’une recherche libre et ouverte en matière de santé. Il y a un risque aujourd’hui très important dans l’agenda international, c’est celui d’une sortie des États-Unis d’Amérique de l’OMS et en quelque sorte d’une privatisation du débat. Et on le voit d’ailleurs chez certains acteurs qui commencent à revenir en arrière sur des règles, à brouiller des cartes », a-t-il regretté. Selon lui, » on a besoin de faire face aux risques de pandémie, d’avoir une OMS plus forte. Et au lieu de la fragiliser, nous devons tirer les leçons de la pandémie que nous avons vécue, et d’avoir des mécanismes de détection de crises plus rapides… ».