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Archives journalières : 30 novembre 2024
Dans la nuit de mercredi à jeudi, une vaste opération de sécurisation a été menée dans plusieurs quartiers stratégiques de Dakar. Pilotée par le Service régional de sécurité publique (SRSP), cette intervention d’e...
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L’ancien ministre du Budget et tête de liste de la coalition « Pôle Alternative 3e voie Kiiray Ak Natangué » fait face à une nouvelle plainte, cette fois déposée par Demba Samba Diouf, concessionnaire de véhicules...
Le Ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens, Monsieur Malick Ndiaye, a reçu ce vendredi une délégation de transporteurs guinéens conduite par Monsieur Chérif Ba, en présence de Monsieur G...
Après un très beau bras de fer, Dortmund et le Bayern se séparent sur un score de parité logique. Plus réaliste en première période, le BVB a trop subi dans le deuxième acte pour espérer autre chose qu'un point. I...
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Le 30 novembre 2024, Donald Trump a menacé de taxer à hauteur de 100 % les pays des BRICS si ces derniers s’opposaient à la domination du dollar américain. Ces pays, qui incluent le Brésil, la Russie, l'Inde, la C...
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Le débat sur l’abrogation de la loi d’amnistie continue de diviser juristes et acteurs politiques au Sénégal. Mais pour Me Demba Ciré Bathily, avocat au barreau, ce débat relève davantage d’un malentendu juridique...
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Ce 29 novembre 2024 à l’Institut Islamique de Dakar, la plateforme nationale des femmes musulmanes "Ndeyi Askann Wi" a tenu une conférence de presse marquée par une prise de position ferme contre l’agenda du genre ...
Dans une déclaration détaillée, Me Bamba Cissé, avocat à la Cour, a précisé les contours de deux principes juridiques souvent invoqués à tort dans les débats publics : l’intangibilité des droits acquis et le princ...
Près de trois ans après le lancement d’une offensive à grande échelle par Vladimir Poutine, le retour prévu de Donald Trump à la Maison Blanche en janvier, dans un contexte d’escalade marquée par le tir par Moscou d’un nouveau puissant missile vers l’Ukraine, a relancé les interrogations sur la possibilité d’un cessez-le feu.
Volodymyr Zelensky a laissé entendre qu’il était disposé à attendre avant de récupérer les zones occupées par l’armée russe - près d’un cinquième du pays -, si un tel accord pouvait offrir la sécurité au reste de l’Ukraine et mettre fin aux combats.
« Si nous voulons mettre fin à la phase chaude de la guerre, nous devons placer sous l’égide de l’Otan le territoire de l’Ukraine que nous contrôlons », a déclaré le président à la chaîne britannique Sky News, selon une traduction en voix off de ses propos en anglais.
« C’est ce que nous devons faire rapidement, et ensuite l’Ukraine pourra récupérer l’autre partie de son territoire par des voies diplomatiques », a-t-il ajouté.
Kiev a jusqu’à présent toujours exclu de céder des territoires en échange de la paix, tandis que Vladimir Poutine exige que l’armée ukrainienne se retire de davantage de territoires et se refuse à toute adhésion de son adversaire à l’Otan.
Moscou contrôle environ 18% du territoire internationalement reconnu de l’Ukraine, y compris la péninsule de Crimée qu’elle a annexée en 2014. La Russie a aussi annexé les régions de Donetsk, Kherson, Lougansk et Zaporijjia, même si elle ne les contrôle pas entièrement.
Les forces russes ont engrangé ces dernières semaines, à une vitesse inédite depuis début 2022, des gains territoriaux face à une armée ukrainienne affaiblie.
Et le conflit s’est récemment intensifié avec des frappes massives sur les territoires contrôlés par Kiev, le président russe Vladimir Poutine menaçant de frapper des centres de décision de la capitale ukrainienne avec son nouveau missile « Orechnik » en réponse à l’envoi de missiles fournis par les Etats-Unis et le Royaume-Uni sur le territoire russe.
Donald Trump a critiqué l’aide américaine à Kiev et a affirmé, pendant sa campagne, qu’il pourrait mettre fin au conflit en quelques heures, sans toutefois dire comment.
Garanties
M. Zelensky a insisté sur le fait que toute offre d’adhésion à l’Otan devait être faite à l’ensemble de l’Ukraine, mais ses propos suggèrent qu’il pourrait accepter que la protection de l’alliance, telles que la clause de défense collective de 5, ne s’appliquent qu’au territoire contrôlé par Kiev.
« Si nous parlons de cessez-le-feu, (nous avons besoin de) garanties que Poutine ne reviendra pas », a dit M. Zelensky en anglais.
Vladimir Poutine a déjà demandé à Kiev de renoncer à ses ambitions de rejoindre l’Otan si elle souhaitait un accord de paix.
Dans le contexte d’une escalade du conflit depuis deux semaines, M. Zelensky a eu une série d’appels téléphoniques avec des dirigeants occidentaux, notamment le Britannique Keir Starmer, le Français Emmanuel Macron et l’Allemand Olaf Scholz.
Jeudi, ces deux partenaires historiques ont exprimé leur volonté de voir l'armée française non pas réduire la voilure sur leur territoire respectif, mais bien quitter les lieux.
Le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a déclaré à l'AFP que la "souveraineté" de son pays ne "(s'accommodait) pas de la présence de bases militaires", réclamant un "partenariat dépouillé" des soldats français.
Peu après, alors que le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot venait de quitter N'Djamena dans le cadre d'une tournée africaine, son homologue tchadien Abderaman Koulamallah annonçait "mettre fin à l'accord de coopération en matière de défense" signé avec Paris.
Une décision qui a pris Paris au dépourvu. Ce n'est que vendredi soir que la France a déclaré "prendre acte" de la décision tchadienne.
La France "prend acte" mais "entend poursuivre le dialogue" avec le Tchad, a fait savoir le Quai d'Orsay.
Après le départ forcé ces dernières années des soldats français du Mali, du Burkina Faso puis du Niger, où se sont installées des juntes hostiles, le Tchad était le dernier pays sahélien à en abriter encore.
Ces deux déclarations interviennent alors que l'envoyé du président Emmanuel Macron en Afrique, Jean-Marie Bockel, avait remis lundi son rapport sur la reconfiguration du dispositif militaire français en Afrique, prônant un partenariat "renouvelé" et "co-construit".
"Les Français font l'autruche"
Le rapport "recommandait une réduction drastique de la présence. Ce n'est pas nécessairement ce qui était demandé initialement par les partenaires. Mais les décisions s'orientant dans cette direction, ils ont préféré annoncer que la décision était la leur", commente pour l'AFP Elie Tenenbaum, de l'Institut français des relations internationales (Ifri).
Les autorités tchadiennes ne sont pas satisfaites "parce que les recommandations (de Jean-Marie Bockel, ndr) ne prennent pas en compte leurs attentes", juge ainsi Yamingué Bétinbaye, docteur en géographie politique à l'Université de N'Djamena.
"Une fois de plus, les Africains ont avancé plus vite que les Français", ajoute Elie Tenenbaum. Ce faisant, ils offrent à la Russie, en pleine poussée d'influence sur le continent, un joli cadeau.
"Aussi bien le Tchad que le Sénégal ont resserré les échanges avec Moscou ces derniers mois. Si la Russie n'a pas d'intérêts majeurs dans ces pays, c'est une bonne manière pour elle de porter un coup aux Français".
Une analyse qui rappelle les déclarations à l'AFP, la semaine dernière, de l'opposant tchadien Succès Masra. "Il y a, à la présidence, beaucoup de gens ouvertement pro-russes. Wagner est déjà là", assurait-il, évoquant les mercenaires russes en Afrique du groupe de feu Evguéni Prigojine, désormais regroupés au sein de l'Africa Corps.
Les dirigeants tchadiens "peuvent dégager les Français à tout moment, mais tout le monde fait semblant que ça n'existe pas. Les Français eux même font l'autruche", estimait-il, relevant qu'à un mois des premières législatives dans le pays depuis 2015, l'annonce peut aider M. Deby à "reconquérir l'opinion populaire".
Les jihadistes et leurs alliés ont pris le contrôle de la moitié d'Alep, la deuxième ville de Syrie, où ils ont atteint la citadelle historique, après deux jours d'une offensive éclair contre les forces gouverneme...
L’Industrie des Boissons du Sénégal (IBS) a paraphé officiellement un partenariat stratégique avec des clubs de football sénégalais. Un accord qui s’inscrit dans notre engagement à soutenir le sport national ainsi...