Le suspect arrêté dimanche dans le cadre de l'enquête sur une tentative d'assassinat présumée contre Donald Trump « n'a pas tiré », a déclaré lundi 16 septembre Ronald Rowe, directeur par intérim du Secret Service chargé de la protection des hautes personnalités politiques américaines.
Lors d'une conférence de presse tenue au bureau du shérif du comté de West Palm Beach, en Floride, Jeffrey Veltri, l'agent du FBI responsable de l'enquête, a précisé qu'il n'y avait, pour l'heure, aucune indication que le suspect avait agi en complicité avec d'autres personnes.
Selon Ronald Rowe, l'agent du Secret Service qui a repéré le suspect armé a ouvert le feu, mais le suspect, qui n'avait pas de ligne de vue sur l'ancien président, a pris la fuite sans tirer. « Le suspect n'a même pas été sur le point de faire feu. Nous l'avons rapidement appréhendé et présenté à la justice », a ajouté le shérif Ric Bradshaw.
Ryan Wesley Routh, un Américain de 58 ans, a été présenté à un juge lundi. Ce dernier a été inculpé pour détention illégale d'arme, en raison de son casier judiciaire, et possession d'une arme dont le numéro de série était effacé. Ces accusations pourraient entraîner des peines maximales de 15 ans et cinq ans de prison respectivement. Routh fera l'objet de nouvelles poursuites, avec une audience sur son maintien en détention fixée au 23 septembre et une mise en accusation formelle prévue une semaine plus tard.
Le débat sur la sécurité entourant Donald Trump s'intensifie. L'analyse du téléphone du suspect révèle qu'il a passé plus de 11 heures caché dans les buissons près du golf de Palm Beach, en attendant l'ancien président avec un fusil d'assaut AK-47. Lorsqu'il a été repéré par l'agent du Secret Service, Routh était à environ 300 ou 400 mètres de sa cible, rapporte notre correspondant à Miami, David Thomson.
Des questions se posent sur la manière dont le suspect a pu s'approcher si près du candidat républicain et sur la façon dont il a su que Trump se rendrait au golf à ce moment précis, surtout deux mois après une première tentative d'assassinat. Aux États-Unis, le débat sur les failles sécuritaires se fait de plus en plus pressant.
Ce mardi 17 septembre, Donald Trump rencontrera à Mar-a-Lago le chef par intérim du Secret Service, qui a remplacé l'ancienne cheffe de cette agence après les failles sécuritaires observées lors de la première tentative d'assassinat à Butler, en Pennsylvanie. L'ex-président a salué le travail du Secret Service pour avoir mis en fuite le suspect, tout en critiquant la « rhétorique » de sa rivale Kamala Harris, qu'il accuse d'avoir incité le suspect à passer à l’acte.
Lors d'une conférence de presse tenue au bureau du shérif du comté de West Palm Beach, en Floride, Jeffrey Veltri, l'agent du FBI responsable de l'enquête, a précisé qu'il n'y avait, pour l'heure, aucune indication que le suspect avait agi en complicité avec d'autres personnes.
Selon Ronald Rowe, l'agent du Secret Service qui a repéré le suspect armé a ouvert le feu, mais le suspect, qui n'avait pas de ligne de vue sur l'ancien président, a pris la fuite sans tirer. « Le suspect n'a même pas été sur le point de faire feu. Nous l'avons rapidement appréhendé et présenté à la justice », a ajouté le shérif Ric Bradshaw.
Ryan Wesley Routh, un Américain de 58 ans, a été présenté à un juge lundi. Ce dernier a été inculpé pour détention illégale d'arme, en raison de son casier judiciaire, et possession d'une arme dont le numéro de série était effacé. Ces accusations pourraient entraîner des peines maximales de 15 ans et cinq ans de prison respectivement. Routh fera l'objet de nouvelles poursuites, avec une audience sur son maintien en détention fixée au 23 septembre et une mise en accusation formelle prévue une semaine plus tard.
Le débat sur la sécurité entourant Donald Trump s'intensifie. L'analyse du téléphone du suspect révèle qu'il a passé plus de 11 heures caché dans les buissons près du golf de Palm Beach, en attendant l'ancien président avec un fusil d'assaut AK-47. Lorsqu'il a été repéré par l'agent du Secret Service, Routh était à environ 300 ou 400 mètres de sa cible, rapporte notre correspondant à Miami, David Thomson.
Des questions se posent sur la manière dont le suspect a pu s'approcher si près du candidat républicain et sur la façon dont il a su que Trump se rendrait au golf à ce moment précis, surtout deux mois après une première tentative d'assassinat. Aux États-Unis, le débat sur les failles sécuritaires se fait de plus en plus pressant.
Ce mardi 17 septembre, Donald Trump rencontrera à Mar-a-Lago le chef par intérim du Secret Service, qui a remplacé l'ancienne cheffe de cette agence après les failles sécuritaires observées lors de la première tentative d'assassinat à Butler, en Pennsylvanie. L'ex-président a salué le travail du Secret Service pour avoir mis en fuite le suspect, tout en critiquant la « rhétorique » de sa rivale Kamala Harris, qu'il accuse d'avoir incité le suspect à passer à l’acte.
