La Direction de la prévision et des études économiques (Dpee) a dans un document, analysé les échanges commerciaux du Sénégal pour janvier 2020. Selon le document consulté par le Journal de l’économie sénégalaise (...
Archives journalières : 25 mars 2020
Le Produit net bancaire de Coris Bank international a connu une hausse de 2,8% en 2019. La révélation est de Idrissa Nassa, le président du conseil d’administration lors d’un message aux actionnaires. Idrissa Nassa...
Dakaractu Mbour faisait l'annonce de grandes décisions dans l'édition spéciale de ce mercredi dédiée à la lutte contre le covid-19. Ainsi le marché central ne fonctionnera désormais que les lundi, mercredi et vend...
Les malades vont bien, nous souffle une source bien au fait de leur suivi à Ziguinchor. Leur traitement se passe très bien et les signaux sont presque au vert car pour le moment, pas de signes d’inquiétude notés. ...
Le Coronavirus a fini d'effrayer les décideurs de tous horizons. En Afrique, on craint un impact négatif sur l'économie. C'est du moins ce que croit fermement le président du Sénégal. « L'Afrique à l'im...
Au deuxième jour du couvre-feu, la ville de Ziguinchor s’est transformée en « ville morte ». Aucune ombre de Ziguinchorois n’est aperçue dans les artères de la capitale sud du pays. Ce second jour est à l’im...
La consternation est grosse ! La presse départementale de Mbacké vient de recevoir un sacré coup. Sur les images que vous voyez, il est aisé de remarquer que des éléments des médias sont bastonnés comme des malpropres par un policier. Pourtant ...
Les élans de solidarité contre la propagation du covid-19 se poursuivent dans la commune et le département de Kaolack. En effet, l'ambassadeur itinérant, Mohamed Ndiaye Rahma vient d'apporter sa contribution e...
À Touba pour donner sa participation à l'effort de guerre menée contre le Covid-19, Me Madické Niang a lancé un appel en direction des populations, les invitant à suivre strictement les recommandations de l'administration médicale. Insistant su...
Dans son combat pour l'utilisation de la chloroquine comme traitement du covid-19, le Dr Didier Raoult a enrôlé le Professeur Moussa Seydi qui a jugé les résultats obtenus par son confrère de très encourageants.&nb...
Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris la décision suivante : Monsieur André Almamy Fodé Fossar SOUANE, Commissaire aux enquêtes économiques, matricule de solde n° 610....
Lors du conseil des ministres tenu ce mercredi, le Président de la République a, à ce titre, adressé ses vifs remerciements aux leaders de l’opposition parlementaire et de la classe politique en général, aux mouve...
Le Président Macky Sall a décidé de modifier, durant l’état d’urgence, les horaires de travail dans l’administration, désormais fixés de 9 heures à 15 heures. La décision a été actée en conseil des ministres de ce...
Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Macky SALL, a présidé la réunion du Conseil des ministres, le mercredi 25 mars 2020, au Palais de la République. Le Chef de l’Etat a, à l’entame de sa communic...
La révélation est faite par le Professeur Moussa Seydi du service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital Fann. "Nous utilisons l'hydroxychloroquine ou la chloroquine dans le traitement des patients at...
Parti de l'urgence sociale locale, la débrouille au quotidien, Macky Sall du Sénégal a évité le piège du confinement total que même la France et les États-Unis veulent vaincre. Pour cette fin de semaine cruciale du 27 au 30, il faudra vaincre l...
L’inspecteur départemental du commerce de Bignona et ses hommes viennent de dénicher dans les localités de Bignona et de Kafountine un réseau de trafiquants de faux gels hydro-alcooliques en provenance de Touba et...
L'ancien Premier ministre Abdoul Mbaye a été annoncé parmi les personnalités à recevoir en audience par le chef de l'Etat au Palais ce mercredi 25 mars 2020, après la série de consultations d'hier avec les leaders de l'opposition comme Ousmane ...
La Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO), La Ligue Sénégalaise des Droits Humains (LSDH), ARTICLE 19 Afrique de l’ouest/Sénégal et Amnesty International Sénégal condamnent vigoureuseme...
Dans le cadre de la lutte contre le covid-19 en zone transfrontalière, le préfet de Médina Yoro, Alioune Badara Mbengue, revient sur la gestion de cette difficile question. Le département de Médina Yoro Foula est ...
Le Collectif pour la justice et contre les violences policières ainsi que le Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine (FRAPP) se disent pleinement engagés dans la lutte contre le coron...
Le Commissaire à la retraite Cheikhna Keïta a déploré vivement «les bavures policières» constatées hier nuit. Des comportements qu’il ne légitime pas. C’est pourquoi il a demandé aux autorités de la Police de régler ces écarts pour pouvoir maîtriser la situation. Même si à situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles, mais toujours est-il que qu'il faut le faire en toute légitimité.
C’est quoi une situation d’exception ?
L’Etat d’urgence est une situation d’exception. Cela veut dire qu’on sort du cadre ordinaire de la vie institutionnelle et de la vie normale du pays, de la liberté qu’ont les gens, dans le cadre du respect des lois du droit commun, du droit ordinaire qui s’applique tous les jours.
En termes plus clairs ?
Autrement dit, l’autorité est motivée par la nécessité d’instaurer une situation qui permet à l’autorité de changer la donne et de disposer de certains pouvoirs qui sont des pouvoirs exceptionnels qui ne sont pas des pouvoirs ordinaires. Quand il y a un péril imminent, des risques de troubles particulièrement à l’ordre public, … en ce moment l’article 69 de la Constitution autorise le président de la République à prendre par décret cette mesure, c’est-à-dire d’installer le pays dans une certaine situation, sur l’ensemble du territoire ou sur une partie du territoire. Ça se traduit par le renforcement des pouvoirs des autorités administratives, la restriction de certaines libertés allant jusqu’à détenir quelqu’un, mettre quelqu’un dans une situation de résidence, l’arrêter et le mettre quelque part sur la base de simples suspicions qu’on a de la gravité qu’il représente par rapport à l’ordre.»
Appréciez-vous les vidéos qui circulent dans la toile sur les bavures des forces de l’ordre, hier?
Couvre-feu, veut simplement dire limiter les libertés ordinaires d’aller et de venir dans le temps et dans l’espace pendant un moment défini. Mais cela ne veut pas dire que les policiers vont exercer des violences. Il n’y a aucune loi qui autorise à quelqu’un à délibérément utiliser des violences dans le cadre de l’exercice d’une mission, si ce n’est qu’une violence nécessaire pour maîtriser quelqu’un. Au-delà çà, il n’y en a pas. C’est déplorable qu’il y eut des coups distribués çà et là, et même des formes de comportement qu’on ne comprend pas et qui sont de la légèreté dans un pays qui est dans cette situation. Je crois que tout le monde doit prendre de la hauteur en même temps. Je crois que dans la mise en œuvre, il y a eu un peu de précipitation. Parce que quand on envoie ses hommes pour une mission comme celle-là, on doit les prendre en main au départ pour leur dire ce pour quoi ils sont déployés ? Comment ils doivent se comporter quand ils sont déployés ? Qui ils ont en face ? Les raisons pour lesquelles ils sont là ? Quel est le rôle qu'ils doivent jouer dans le cadre de cet état d’urgence et dans le cadre de la lutte contre le Covid-19 qui est là. La question c’est qu’ils puissent dialoguer avec la population. Ils peuvent être rigoureux, mais pas n’importe comment. À donner des coups n’importe comment. C’est très gênant, c’est très déplorable. Il ne fallait çà.
Que préconisez-vous comme solution pour éviter ces bavures ce soir ?
C’est simplement de reprendre la situation en main, ça c’est aux chefs de le faire. Se critiquer objectivement parce que quand il y a quelque chose qui ne va pas dans une intervention comme celle-là, il faut savoir se critiquer objectivement, ensuite reprendre la situation en main, reprendre les hommes au mur et leur dire ce qu’on attend d’eux. Leurs signifier carrément qu’on n’attend pas d’eux qu’ils se mettent dans des comportements comme ceux-là. C’est ça qu’il faut et organiser l’action, leur donner des instructions précises, claires, nettes et les superviser. Il faut que le dispositif de supervision se déploie en même temps que le dispositif de contrôle et que les hommes aient conscience que ce n’est pas le moment de faire n’importe quoi, parce que s’ils le font, ils risquent d’être sanctionnés...
Les chiffres font froid dans le dos au vu de la propagation très rapide de la maladie du coronavirus à Thiès. En effet, en moins de 48 heures, le nombre de cas contaminés est passé de sept à plus quinze. L’infor...
Le gouverneur de la région de Kaolack a fait face à la presse ce mercredi, pour communiquer sur les dispositions particulières liées à l’état d’urgence et au couvre-feu. Au delà des décisions prises par l’État cen...