#économie #Sénégal Le gouvernement du Sénégal, en partenariat avec l’Agence UMOA-Titres, est à la recherche d’un montant de 50 milliards de FCFA (environ 85 millions de dollars) à travers l’émission simultan...
Archives journalières : 1 février 2020
Le leader d’ACT (Alliance pour la citoyenneté et le travail), profitant de la cérémonie de dédicace du livre publié par Pape Alé Niang et qui est intitulé : « scandale au cœur de la République », a tout bonnement r...
Il n’a pas été choisi au hasard pour non seulement préfacer le livre du journaliste Pape Alé Niang, mais encore développer quelques idées sur la naissance de l’Ofnac, son importance mais aussi la manière dont cet o...
Mohamed Massaly, ex Pca de la société des infrastructures de réparation navale (Sirn) prend le contrepied du rapport de la Cour des comptes qui l’accuse de vol de meubles. Selon lui, les meubles étaient destinés à...
Alors que les ténors politiques se faisaient encore désirer sur le terrain pour cette deuxième journée du « cleaning-day », initiative lancée par le Chef de l’Etat, les jeunes de la convergence des jeune...
Armés de pelles, brouettes et balais, Cheikh Bakhoum, en collaboration avec l’ASC Hlm Grand Yoff et les habitants du quartier ont lancé une croisade contre l’insalubrité dans leur localité. Ils ont nettoyé les rue...
La relation historique qui caractérise le couple Capital-Travail nous enseigne que le combat que mène la force de Travail depuis l’aube des temps contre le Capital n’est pas une lutte à mort. Il s’agit plutôt d’un combat perpétuelle pour créer et maintenir un rapport de forces équilibré qui tempère les velléités du Capital à domestiquer le Travail et socialise les rapports de travail. Ce n’est que sous un tel rapport que nous arriverons à une redistribution correcte de la production au sens large et à une protection environnementale qui passe nécessairement par le changement du système de production suicidaire actuel.
Mesurant ce rapport à l’aune de la globalisation, je suis inquiet de notre réveil qui pourrait être brutal, nous autres, acteurs du mouvement syndical, surpris que nous serons, par les changements fondamentaux à grande vitesse, impulsés par l’ère de la 4ème révolution industrielle dite révolution 4.0. Cette révolution de l’économie virtuelle, marquée par le progrès technologique qui génère l’industrie virtuelle, la finance virtuelle, la robotisation du travail et sa mondialisation à outrance, milite manifestement en faveur du Capital et des excès de la finance globale, au détriment du Travail, de l’économie réelle et solidaire pour un développement intégré durable. A ces nouveaux paradigmes de l’ultra libéralisme, s’associe la dérèglementation climatique, environnementale et écologique qui, à elle seule, est une réelle menace qui pèse sur la vie de la planète terre et par conséquent sur le Travail, car il n’y a pas d’emplois dans une planète morte.
L’avenir du travail se pose aussi en ces termes. Nous rendons-nous compte que pour construire des buildings en un temps N fois réduit qu’il ne l’a été jusqu’à maintenant, il suffit simplement d’un ou de quelques individus et d’une machine ; de même, pour toute sorte d’opération bancaire, nous n’avons plus besoin ni de nous déplacer ni des services d’un quelconque employé. Nous rendons-nous compte que, même la grève sous sa forme actuelle va être très vite dépassée, plus vite qu’on ne puisse l’imaginer.
Alors, acceptons qu’à présent, plus que jamais, ni la rivalité ou l’adversité, ni aucun autre détail crypto personnel qui nous divertit ou nous détourne de la reconstruction de notre unité sacrée, n’ont plus de place dans la gouvernance syndicale pour l’accomplissement de notre mission de syndicaliste à l’ère de l’économie virtuelle. L’heure est à la remobilisation, au renforcement de l’unité d’action et de l’unité organique, à la réorganisation pour l’unification des luttes, et à la réadaptation de nos stratégies.
Mieux, aujourd’hui, nous devons procéder à la remise en cause même des formes actuelles d’organisations, quand on sait que le mouvement des gilets jaunes et d’autres mouvements similaires qui émergent à travers le monde, semblent ne plus se reconnaitre dans le mouvement revendicatif de représentation, tel que les syndicats. Tous ces signaux prouvent qu’au fond, les travailleurs, qui s’accordent toujours sur l’essentiel ne sont pas divisés mais ce sont les organisations syndicales et leurs leaders qui le sont.
Remettons-nous en cause dans le but de mieux resserrer nos rangs, de recentrer nos missions, de réadapter nos stratégies. A mon avis, nous gagnerions à envisager, pourquoi pas, une vaste alliance au-delà de nos organisations, à créer une sorte d’entente avec les peuples, qui sont nos premiers alliés, concernés qu’ils sont par le progrès social et économique, l’équité et la justice. A coup sûr, cela nous renforcerait, face aux dérives et agressions du Capital, pour maintenir ce rapport de force indispensable, sans lequel, l’humanité n’est pas à l’abri de «l’apocalypse».
Dans l’économie globale, la définition qui confine la mission syndicale à la seule défense des intérêts matériels et moraux des travailleurs, est devenue trop étriquée. La conception actuelle des règles de la mondialisation basée sur les excès de la finance globale, élargit de facto les missions du mouvement syndical qui inscrit désormais son action dans celle du peuple et intègre ses préoccupations dans celles des populations. Cette redéfinition de l’action syndicale me conforte dans l’idée d’une vaste alliance des syndicats et des peuples, de ses segments les plus organisés, pour faire face efficacement aux fléaux de la quatrième révolution industrielle. De nos jours, un nombre croissant d’individus n’a pas accès à l’emploi, le service public recule, le Capital privé multinational gagne du terrain. Les tendances à restreindre l’espace démocratique apparaissent comme une préoccupation majeure à l’échelle mondiale.
Après la publication du livre intitulé "scandale au cœur de la république : le dossier Coud", du journaliste-chroniqueur Pape Alé Niang, la réaction de l'ancien directeur du Coud, Cheikh Omar Han...
Une véritable bamboula! C’est ainsi qu’on pourrait qualifier la gestion des fonds publics à L’Agence sénégalaise d’électrification rurale (Aser). Dans cette société nationale, ce sont des primes en guise de Ndawtal variant entre 1 500 000 et 3 millions F Cfa de subvention qui sont octroyées à chaque agent, à l’occasion d’une naissance. Les fêtes de Tabaski aussi ont été des occasions de réjouissances pour le personnel. Ce, en ce sens que les étrennes personnelles ou des cadeaux offerts à l’occasion des fêtes religieuses musulmanes ou ndéweneul de Tabaski 2014 s’élevant à 7 250 000 f ont été versées aux personnels.
Et selon les faits révélés par ledit rapport, ‘’les primes prévues représentent 75% du salaire de base. Ainsi, un agent dont le salaire est compris entre 2 et 5 millions peut recevoir (comme ndawtal c’est-à-dire soutien financier) entre 1 500 000 et 3 millions F Cfa de subvention de l’Agence à l’occasion d’une naissance. Il s’y ajoute les étrennes personnels (cadeaux à l’occasion des fêtes religieuses musulmanes ou ndéweneul de Tabaski 2014) versées aux personnels’’ qui s’élèvent à 7 250 000 f. Des libéralités qui dénotent une absence de rationalité dans l’utilisation des ressources de l’Agence qui ne parvient pas à faire face correctement à ses charges de fonctionnement, a relevé la Cour des comptes dans son rapport.
Celui-ci, a aussi fait état de dépassements budgétaires. L’analyse des charges d’exploitation de l’Aser a permis, selon ledit document fort de 262 pages, de déceler des dépassements sur certaines lignes budgétaires en 2014. Ces dépassements sont l’objet du tableau n°109 qui suit’’, a constaté Dakaractu.
Ces dépassements concernent plusieurs lignes budgétaires, notamment les dons et les frais de mission. Celui portant sur les dons a ‘’atteint 82 427 350%20427%20350 F, celui des frais de mission à l’intérieur 13,8 millions de francs et celui des frais de mission à l’extérieur 9 millions.
Ndawtal de ‘’1 500 000 et 3 millions F Cfa de subvention de l’Agence à l’occasion d’une naissance’’
Cette situation a motivé une recommandation de la Cour des comptes. Celui-ci a, dès lors, recommandé au Directeur général de l’Aser de l’époque ‘’d’entreprendre les démarches nécessaires auprès des parties prenantes pour lever les contraintes techniques qui retardent l’avancement des travaux ; de mettre un terme aux dépassements budgétaires et aux régularisations de dépenses déjà exécutées sans l’autorisation préalable de l’organe délibérant’’.
Des gratifications injustifiées versées au personnel ont été également relevées. La Cour des comptes a évoqué un examen des documents comptables ayant ‘’montré que des gratifications sont distribuées, chaque année, aux agents de l’Aser. Le montant total annuel des gratifications distribuées au personnel de l’Aser de 2009 à 2014 se situe entre 127,7 millions de F et 183, 2 millions de f. Elles représentent annuellement entre 18,12% et 30,87 % des salaires’’. Le rapport a indiqué que ce ‘’versement d’office d’une gratification à la fin de chaque année ne respecte pas la réglementation’’.
Il a été mentionné des abus sur les dons et subventions. ‘’Durant la période sous revue, les dons et subventions de 2009 à 2014, accordés au personnel de ladite agence et à des particuliers par la direction générale, atteignent des montants annuels parfois importants. Des abus sur les subventions et primes accordées au personnel ont été également indexés. Cela découle de ‘’la décision du Conseil d’administration en date du 07 janvier 2005 (d’octroyer) à tous les agents de l’Aser un certain nombre de primes pour des montants excessifs eu égard à la situation de l’Aser. Pourtant, ledit conseil, renseigne toujours le rapport public de 2016, avait demandé que l’application de cette mesure tienne compte d’une part « des possibilités financières » et d’autre part que l’Agence «ne devrait pas se singulariser par rapport à son environnement socio-économique ».
‘’Entre 127,7 millions et 183, 2 millions de f de gratifications distribuées au personnel de l’Aser de 2009 à 2014’’
Suite aux dérives constatées dans les structures publiques et concernant les libéralités, le Premier ministre d’alors, avait pris la circulaire n°0379/PM/SGG/BSC/SP du 03 juin 2015 pour demander le rétablissement de « la discipline dans l’octroi de ces dons et subventions qui doit s’inscrire dans une gestion transparente et performante ». À cet effet, demande a été faite par le chef du gouvernement « aux Pca (Président du Conseil d’administration) et aux Pcs (Président du Conseil de Surveillance), d’inscrire l’octroi des dons et subventions dans une politique de responsabilité sociale d’entreprise » et aux Directeurs généraux de veiller « à ce que ces libéralités accordées respectent les décisions prises par les Conseils d’administration et rentrent dans l’objet social des entreprises publiques ».
Cité dans ce rapport, Modibo Diop, ancien Directeur général de l’Aser, a relevé que ces faits évoqués ne sont pas passés sous sa direction. ‘’En date du 20 novembre 2017, j'accuse réception du rapport 2016 de votre institution me demandant de le commenter. Je vous fais remarquer qu'à cette date j'avais quitté mes fonctions de Directeur Général de l'Aser depuis 7 années 5 mois exactement.
Donc, je suis un peu étonné, par ce rapport, d'autant plus que les actes de gestion qui y sont relevés ont fait l'objet d'un jugement du Tribunal de Grande Instance de Dakar. Ceci suite aux audits de L'Ige (Inspection générale d’Etat), de la Dic (Division des investigations criminelles), des divers cabinets commis par les bailleurs, 5 au total. Et enfin de l'audit de l'expert-comptable commis par le Juge d'instruction. Vous comprendrez aisément que le principe de l'autorité de la « chose jugée » m'interdit de commenter ce rapport’’, a répondu l’ex-Dg.
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