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Il s’est également permis de convoquer tous les chefs d’État du G5 Sahel en France, plus précisément à Pau, le 16 décembre prochain, pour les entendre « clarifier leur demande à l’égard de la France et de la communauté internationale » concernant la présence des forces militaires françaises dans cette zone.
L’opinion publique africaine a été ainsi choquée et outrée par le ton des propos et par la manière dont le président français s’est adressé à ceux qu’il aurait dû considérer comme ses pairs.
C'est ce qui a donc poussé les organisations africaines que sont : le Groupe de travail du Rapport Alternatif Sur l’Afrique ( RASA) - Afrique),
Leadership, Ethique, Gouvernance et stratégie pour l’Afrique (LEGS- Africa), Africtivistes, réseau des bloggers et activistes africains, MÉMOIRES et PARTAGES (Bordeaux, France), Cercle Humaniste d'Engagement et de Réflexion pour l'Avenir de l'Afrique (CHERPAA- Paris, France), Magazine Continent Premier (Suisse) Groupe de Recherches et d’Initiatives pour la Libération de l’Afrique ( GRILA- Canada), de monter au crénau pour se désoler de cette posture du président Français Emmanuel Macron.
Elles condamnent fermement cette attitude arrogante du Président Emmanuel Macron, qu'elles perçoivent comme "un manque de respect vis-à-vis des chefs d’État des pays cités et de leurs peuples", voulant rappeler ainsi au Président Macron que les pays Africains font partie de la « communauté internationale » dont il s’improvise porte-parole sans être mandaté à cet effet. Les peuples africains réclament depuis longtemps l’abolition des relations néocoloniales entre la France et ses anciennes colonies, lesquelles s’exercent à travers le franc CFA, les accords économiques et financiers léonins, les accords de défense iniques, le soutien aux régimes dictatoriaux, la présence de troupes françaises, etc...
À travers ses interrogations, ces organisations restent sceptiques quant au goût du président de manifester réellement le désir de voir la présence de ces pays. En plus, cela suscite même des interrogations sur la question lancinante à laquelle les dirigeants africains ont été confrontés au congrès du Parti pour le Rassemblement Africain de Cotonou en juillet 1958 et à la conférence de Brazzaville en Août 1958 : choisir entre une indépendance immédiate des États d’Afrique francophone et la perpétuation d’une communauté déséquilibrée et asymétrique avec la France.
Ces organisations s’adressent d’abord aux chefs d’Etat du G5 Sahel (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger et Tchad). Elles les exhortent à ne pas se rendre à Pau le 16 Décembre et leur recommandent de se concerter dans les meilleurs délais en vue de préparer une réponse commune à l’interpellation du président de la République française.
Elles demandent aussi aux chefs d'État de la CEDEAO, d'organiser dans les plus brefs délais, l'organisation d'un sommet des chefs d’Etat afin de dégager des mesures effectives permettant la restauration de la paix dans le Sahel et la relève des troupes françaises.
La déclaration sortie par ces organisations appelle également les chefs des Etats membres de l’Union Africaine qui doivent saisir la gravité de l’heure et s’engager résolument aux côtés des Etats du G5 Sahel, à prendre en main la sécurité et le maintien de la paix dans la zone.
Un appel aux chefs d’État à mettre en place, avec les experts africains, universitaires, militaires, organisations de la société civile, etc., une stratégie de sortie de la France du dispositif sécuritaire dans le Sahel et sur les implications de cette sortie dans d’autres secteurs, notamment la poli tique monétaire ( le franc CFA), l’exploitation des ressources naturelles, la stabilité institutionnelle, a été lancée.
Aux Nations Unies, et aux organisations internationales des droits de l’homme, nous demandons une mission spéciale d’observation au Sahel pour évaluer la présence de la France dans la zone.
Enfin, cette déclaration s’adresse aux peuples africains du G5 Sahel, de l’espace CEDEAO, de l'Afrique tout entière et de sa diaspora. Nous les appelons à se mobiliser pour exiger le retrait des troupes françaises en Afrique.
Cette interpellation irrévérencieuse d’Emmanuel Macron à l’endroit des chefs d’Etat est considérée "comme une opportunité pour tourner la page de l’impérialisme français en clarifiant définitivement les relations diplomatiques, les conditions et cadres d’intervention de la France dans les pays africains de la zone franc.
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LA REQUISITION :
Le droit à la réquisition est une prérogative reconnue à l'administration de procéder, en cas de besoin, à la réquisition de travailleurs d'entreprises privées ainsi que d’établissements publics assurant des missions indispensables à la continuité et au maintien de l'ordre public, à la sécurité des biens et des personnes ainsi qu'à la satisfaction des besoins d'intérêt public.
La loi permet ainsi à l'autorité de détenir dans l'intérêt général un pouvoir essentiel qui apparaît comme une "sortie de secours" lorsque les voies de règlement prévues dans le cadre notamment des différends collectifs de travail n'ont pas abouti aux solutions recherchées.
Ce droit de réquisition est prévu par l'article 7 du Statut général des fonctionnaires ainsi que l'article L-276 du code du travail. Mais c'est le décret n° 72-017 du 11 janvier 1972qui énumère la liste des postes, emplois et fonctions concernés.
Pour les travailleurs qui ne rentrent pas dans la définition du Statut de la Fonction publique, ils sont régis par l'article L-276 du code du travail qui dispose que : « L'autorité administrative compétente peut, à tout moment, procéder à la réquisition de ceux des travailleurs des entreprises privées et des services et établissements publics qui occupent des emplois indispensables à la continuité des services publics, ou à la satisfaction des besoins essentiels de la nation ».
MODALITES DE LA REQUISITION :
Les conditions et les modalités de la réquisition sont fixées par l'autorité compétente en fonction des travailleurs qui occupent les emplois figurant sur la liste prévue par le décret.
La notification est faite en règle générale à la personne par ordre de service signé soit par l'autorité administrative compétente, soit par l'employeur ou son représentant.
Toutefois, la notification ou l'information peut être faite :
Par une publication au Journal Officiel ;
Par une diffusion radiophonique ;
Par affichage sur les lieux de travail.
Dans tous les cas, le décret pourra requérir collectivement et anonymement les travailleurs occupant tout ou partie des emplois prévus par le décret n° 72-017 du 11 janvier 1972.
svp publiez moi ça en ano. Sama djieukeur son Youssou Ndour bi "Nay", amna ci wal ak sokhor. Dama febar enceinte de 8 mois ma nek sama keur yaye depuis bama amer 6 mois de ...