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En déclarant publiquement devant cette Commission que l’Etat allait prendre des mesures de « réhabilitation de Karim Wade » et de ses « dédommagements », l’opinion publique attribuait immédiatement ce revirement du gouvernement à un « deal » entre Les Présidents Macky Sall et Abdoulaye Wade », dans la dynamique de leur réconciliation, au détriment des intérêts du peuple, et de la crédibilité de l’Etat sur ce dossier !
En effet, cette déclaration de ces hauts fonctionnaires de l’Etat s’est produite dans un contexte où les partisans de Karim Wade , dans l’opposition dans les organisations de Défense des Droits Humains au Sénégal, réclamaient son « amnistie »pour consolider les retrouvailles « Macky Wade », à laquelle même Karim, le concerné, ne pouvait croire en la possibilité juridique, au point de la refuser pour réclamer une « réouverture de son procès », seule en mesure de l’innocenter !
Karim Wade sait qu’il est condamné pour un délit économique qui l’oblige à payer à l’ Etat du Sénégal 138 milliards de Fr CFA, et qu’il ne peut retrouver ses droits civiques qu’en faisant recours en « médiation pénale » qu’il a refusée bien avant son procès, ou en obtenant la réouverture de son procès qui seul pourrait le réhabiliter et, éventuellement lui accorder de « dommages et intérêts ».
C’est cette situation pénale qui l’a empêché de briguer la Présidentielle de 2019.
Donc, les déclarations de ces deux hauts fonctionnaires devant la Commission des Nations Unies, constituent un revirement spectaculaire, qui porte un grave discrédit à l’Etat, tant au niveau national, qu’au niveau international, en accréditant l’idée que Karim Wade a été condamné tout juste pour l’écarter de la Présidentielle, en instrumentalisant la Justice !
IL a fallu une réaction officielle rapide du Gouvernement du Sénégal, à travers un communiqué du Ministère des Affaires Etrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, portant démenti des déclarations de ces deux hauts fonctionnaires, en rétablissant la position officielle sur le cas de Karim Wade, et leur rappel à Dakar pour être entendus par le Ministère de la Justice qui assure leur tutelle, pour stopper le processus de dégradation grave de la crédibilité de l’Etat au niveau national et international.
A Dakar, après avoir été entendus par le Ministère de la Justice, ils furent relevés de leurs fonctions, comme sanction administrative.
Cette célérité du gouvernement afin de circonscrire les effets néfastes des déclarations de ces deux hauts fonctionnaires, devraient être salués pour tous ceux qui sont soucieux de préserver notre Etat, des conséquences graves de ces déclarations, pour la stabilité du pays.
C’est pour cela qu’il est étonnant de lire un communiqué de « l’Union des Magistrats du Sénégal » (UMS) qui prend la défense de leurs collègues, en dénonçant une « décision précipitée » et un « non- respect de parallélisme des formes », tout en témoignant de leur « intégrité », sans jamais faire aucune allusion sur la gravité de leur manque de loyauté, dans l’exécution de la mission que le gouvernement leur a confiée !
C’est une grave dérive corporatiste qui est en contradiction flagrante avec la mission qu’elle s’est assignée, en tant qu’organisation de défense des droits des Magistrats et de leur profession, de garant de la probité et de l’éthique des Magistrats dans l’exercice loyale de leur fonction.
Le fait que l’UMS n’ait pas condamné publiquement et sans équivoque le manque de loyauté, et d’éthique de ses deux collègues dans l’accomplissement de leur mission, qui a porté un si grave discrédit à l’Etat au niveau international, rend sceptique sur son engagement dans la lutte du peuple pour enraciner l’Etat de Droit au Sénégal.
La caution morale que l’UMS vient de donner à ses deux membres, est un précédent dangereux qui ne devrait laisser indifférent aucun Sénégalais, pour éviter qu’elle ne transforme ses revendications légitimes d’Indépendance vis-à-vis de l’Exécutif, en une stratégie d’édification d’un « Etat des Juges » !
C’est pour cela, étant donné la gravité de l’acte posé par ces deux hauts fonctionnaires devant la Commission des Nations Unies, il est vital que l’Etat édifie les Sénégalais et l’opinion mondiale sur les motivations de ces deux hauts fonctionnaires, en ouvrant une information judiciaire en leur endroit.
Il ne s’agit pas ici d’ouvrir un « front » contre les Magistrats, mais il s’agit de savoir s’il y a eu corruption étant donné l’enjeu financier du « dossier de Karim Wade » qui pèse pour 138 milliards, ou s’il s’agit d’un abus de position administrative pour porter un discrédit international sur l’Etat du Sénégal, ses Institutions républicaines et son Président de la République Chef de l’Etat, qui serait assimilable à un cas de « Haute trahison » !
Mes détracteurs vont crier à « l’inquisition », ou à une « dérive vers la Dictature » en s‘attaquant à des Magistrats !
Mais, il est important d’entreprendre une telle démarche, pour éviter que ce cas appréhensif de comportement de hauts fonctionnaires de l’Etat, ne soit pas un précédent dangereux, qui sape la crédibilité et l’autorité de l’Etat, la stabilité et la cohésion du peuple !
Un Magistrat, quel que soit son rang, ne peut pas être au- dessus des lois dans une République Démocratique !
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