À quelques jours de la fête de Tabaski, pères et mères de famille sont stressés, surtout les femmes qui inondent les marchés à la quête du nécessaire pour un seul but, le fait de voir sourire de leurs progénitures. Tissus, chaussures, bijoux entre autres produits qui, de l’avis de ces dernières, sont inabordables à l’approche de l’événement, surtout avec cette conjoncture morose. De l’autre côté, les commerçants se frottent les mains et en profitent bien pour en tirer le maximum, même si quelques-uns parmi eux disent contraire. Reportage…