Si l’État est dans une impasse qui le pousse à revoir les affectations inscrites dans la loi de finance initiale, c’est en grande partie du à son train de vie très élevé. C’est du moins les propos du député Nango Seck qui atteste qu’il s’attendait à ce que l’État soit à court d’argent. « Le temps nous a donné raison, nous qui n’avions pas voté la loi de finance initiale… Vous avez pompé à coup de milliards les recettes de l’État lors de la campagne présidentielle »‘, charge le député de la diaspora.