Ouvrant une parenthèse sur l’affaire Kémi Séba, Guy Marius Sagna estime que « cela montre encore à quel point nos présidents défendent les intérêts des français ». Pour le panafricaniste, l’urgence est ailleurs pour le président Ouattara. Les questions liées à la mort de Tomas Sankara doivent prendre le dessus sur cet acharnement contre un citoyen qui lutte pour la liberté monétaire.