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Lynché à travers les réseaux sociaux, Babacar Fall victime de sa liberté de ton ?

Lynché à travers les réseaux sociaux, Babacar Fall victime de sa liberté de ton ?

La presse, un métier difficile ! Il suffit de ne pas avoir les mêmes idées, les mêmes angles de réflexion que l’autre, pour que justement,  l’autre,  fasse de toi son ennemi, te lynche à souhait, nourrisse à ton égard une haine  parfois forte. C’est sans doute ce qui est arrivé au journaliste Babacar Fall de la RFM qui a été, dernièrement, traité de tous les noms d’oiseaux à travers les réseaux sociaux… lynché pour avoir osé défendre le journal l’Observateur. 

0Dans sa publication, il disait :  »Si de L’OBSERVATEUR avait concerné un membre du camp du pouvoir, tous ceux qui s’indignent aujourd’hui auraient applaudi.  

Le même travail n’avait-il pas été fait sur un ancien Chef de cabinet de l’ancien Président Abdoulaye Wade ? 

Cette liberté de ton de Babacar Fall s’est aussi fait sentir dans plusieurs autres de ses posts. Dans certains, il semble s’offusquer des lenteurs accusées par l’État du Sénégal dans la résolution du problème d’eau à Touba et dans d’autres on le voit montrer le Président dans des postures visiblement inconfortables. 

Cette liberté de ton a amené certains de ses invités dans Rfm-matin à l’accuser d’appartenir politiquement à l’opposition ou parfois au parti au pouvoir.
dakaractu.com

Si de L’OBSERVATEUR avait concerné un membre du camp du pouvoir, tous ceux qui s’indignent aujourd’hui auraient applaudi. 
Le même travail n’avait-il pas été fait sur un ancien Chef de cabinet de l’ancien Président Abdoulaye Wade ?
Un célèbre journaliste sénégalais n’est-il pas copieusement insulté à chacune de ces sorties pour des faits similaires pour lesquels il a déjà purgé une peine ?
Combien d’hommes politiques et autres célébrités au monde ont été rattrapés par un passé semblable ?
L’OBSERVATEUR est à féliciter parce que montre plutôt d’inacceptables défaillances dans le « système » parce qu’il faut se demander comment des faits aussi graves sont restés impunis à ce niveau de responsabilités.

 

 

 

 


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