Personne ne peut nier que tous les indicateurs, bien argumentés par l’écologie scientifique, sont au rouge.
Ces crises écologiques (déplétion pétrolière, réchauffement climatique, désertification des sols…) s’ajoutent à la contrainte financière qui a déjà fait ses effets. La descente énergétique va impacter tout notre tissu productif d’une façon plus violente encore qu’en 1929.
Un parti politique doit dire la réalité et montrer que nous ne pouvons affronter l’avenir sans un effort collectif important. Car si nous refusons la pédagogie de la catastrophe, ce sera la catastrophe qui servira de pédagogie… si on peut encore parler de pédagogie quand il y a approfondissement d’une crise généralisée.
S’engager dans un parti écologiste devient ainsi un choix plus que raisonné, nécessaire.
Comme parti écologiste au Sénégal, la Convergence des Ecologistes du Sénégal (CES), se veut d’exister pour affronter ces menaces.
Pourquoi sommes-nous mobilisés pour faire vivre cette ambition en tant que troisième famille idéologique au Sénégal ?