Lors de la signature d’un accord de paix entre le Rwanda et la RDC à Washington, le président Donald Trump a confirmé que les États-Unis obtiennent « une grande partie des droits miniers du Congo » dans le cadre de cet accord. Une déclaration qui a provoqué un choc au sein de l’opinion congolaise, nombreux accusant leur gouvernement d’avoir « vendu le pays ».
Face à la vague de critiques, le président Félix Tshisekedi est sorti de sa réserve pour tenter de clarifier la situation :
« Les ressources de la République démocratique du Congo ne seront jamais bradées ni livrées à des intérêts obscurs », a-t-il affirmé.
Mais cette déclaration, jugée vague et peu rassurante, n’a pas suffi à calmer les inquiétudes, d’autant que l’ancien président Joseph Kabila a, selon certaines sources, fait d’autres révélations sur les véritables termes de cet accord.